Julien ayant quelques jours solitaires devant lui décida d’assouvir son penchant ABDL avec une touche de SM, ce goût régressif pour le port de couches et un traitement de gros bébé.

Il prit rendez vous deux jours plus tard avec sa maîtresse Adela.

Adela lui envoya la veille un SMS pour lui rappeler de garder sa couche toute la nuit sans la changer.

Il fut réveillé à 5 heures par une forte envie d’uriner, ce qu’il fit sans bouger. Une chaude moiteur l’envahit. Il termina ainsi sa nuit.

Il acheta quelques suchis pour déjeuner léger et prévins maîtresse Adela toujours par SMS qu’il commençait à se préparer pour leur rendez vous, impatient et délicieusement angoissé en même temps. Elle répondit qu’elle l’attendait pour le goûter.

Après une toilette complète et très intime, il décida de se présenter en portant des bas et un plug anal. Il avait de vieux bas noirs troués et effilés qui faisaient un peu vulgaire et un plug rosebud rarement porté. Il se lubrifia bien l’anus pour l’introduire doucement.

Puis il mit sa couche et une culotte en plastique pour éviter trop de fuites. Il avait déjà bu 1 litre d’eau depuis son repas léger. Il prit sa voiture jusqu’à la gare de Lyon pour prendre le métro qui le conduirait à la porte de sa maîtresse Adela. Il retenait pour l’instant son envie d’uriner tout en continuant de boire. Mais une fois dans le métro quel plaisir de se vider petit à petit dans sa couche au milieu des autres voyageurs !

Il arrivait fébrile devant sa porte. D’une voix douce, grave et ferme elle l’invita à poser sa veste puis l’observa, lui posa des bracelets aux poignets et aux chevilles et lui demanda d’enlever son pull et son pantalon. A la découverte de ses bas, elle remarqua qu’il n’était pas un petit garçon mais une petite fille que sa maman lui avait confié pour son quatre-heures. De ce moment là il devint Julie. Tâtant sa couche, elle le fit allonger pieds aux murs, enleva la couche bien lourde, examina son anus et remplaça son plug par une canule de lavement. En douceur, sans douleur, elle fit passer la quantité de liquide qui lui semblait nécessaire, lui remit une couche et le fit asseoir sur une chaise à haut dossier, les bras menottés dans le dos. Le goûter était prêt.

Une bouillie d’épinards pour commencer qu’il recrachait en partie, en bavant et qu’elle barbouilla avec soin sur sa figure. Puis un biberon d’un breuvage laitier fade qu’elle le poussait à têter en lui pinçant les seins et avec quelques pressions sur le bas-ventre. Il ne put retenir plus longtemps ses sphincters. Ses intestins se vidèrent d’un coup sous lui dans sa couche dans un sentiment honteux mais agréable.

Après avoir enlevé la couche bien pleine, elle l’entraîna dans une chambre et l’attacha dans un sling, les fesses offertes, baillonné et les yeux masqués. Il entendait avec anxiété les préparatifs ; à quelle sauce la petite fille qu’il était devenu allait-elle être assaisonnée. Elle entreprit par la pose de ventouses de torturer ses seins avec quelques claques de la main sur l’intérieur des cuisses. Puis ce qui devait arriver arriva et il la sentit s’introduire en lui, un peu douloureusement au début. Il devait se relâcher, se décontracter et ce lui fut de plus en plus agréable, se surprenant à faire lui-même quelques mouvements de va-et-vient pour amplifier la pénétration. Entre les pressions sur la vessie bien pleine et la prostate, il ressentait un bien-être interne.

Il fallait passer au bain avant de la quitter. Il dut s’asseoir dans la douche sur un plug ventouse de bon diamètre. Il n’aurait jamais imaginé faire cela mais ce lui fut finalement facile et plaisant. Il se surprit là encore à quelques va-et-vient. Masqué, il sentit la douce cuisse de sa maîtresse contre sa joue puis son entre-jambe, contre son front, son nez et de sa langue il recherchait son sexe qui vint s’écraser sur ses lèvres. Il le lécha goulûment quelques instants, recherchant le bulbe du clitoris, et sentit couler son urine sur sa bouche et le bas du visage et réchauffer son corps. Il se mit à uriner à son tour dans la douche dans cette position, engodé et suçant le sexe de sa maîtresse. Ce n’était pas une éjaculation mais ça en valait beaucoup.

Maitresse Adela lui remit une couche propre, et il repartit soulagé et détendu, urinant une dernière fois dans le métro devant des passagers étonnés de son visage hilare à cette heure de pointe.